CSDHI – Parmi les participants notables à la conférence de Berlin figuraient l’ancienne présidente du Parlement fédéral, le professeur Rita Süssmuth, et d’autres personnalités influentes.
Les orateurs principaux à la conférence de Berlin, tels que l’ancien ministre de la défense Dr. France Josef Jung et plusieurs députés de différents partis, ont fait la lumière sur les violations des droits de l’homme commises par le régime iranien et sur l’instabilité régionale. Mme Maryam Radjavi a souligné la nécessité d’une politique ferme à l’égard du régime iranien et d’une reconnaissance des efforts de la Résistance iranienne.
Mme Radjavi a souligné les actions récentes du régime, y compris l’exécution de 230 prisonniers et les violations continues des droits de l’homme, en grande partie non contrôlées par les politiques occidentales. Elle a révélé des informations sur les activités d’espionnage du régime en Europe, en particulier en Allemagne, comme en témoigne la découverte de carnets de notes incriminés appartenant à un diplomate affilié au régime.
La conférence de Berlin a appelé à des mesures internationales décisives, telles que la désignation du Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI) comme organisation terroriste, la mise en œuvre de sanctions globales et la reconnaissance de la lutte du peuple iranien pour un changement de régime. L’appel de Mme Radjavi a mis l’accent sur l’importance de la coopération mondiale pour traiter ces questions.
Les participants ont exprimé leur inquiétude quant à l’inefficacité des politiques occidentales à l’égard de Téhéran et ont souligné les tactiques d’oppression du régime iranien à l’encontre des dissidents à l’étranger. Les orateurs ont souligné l’importance de la résistance organisée contre le régime, en désignant le Conseil national de la résistance iranienne (CNRI) et les Moudjahidines du peuple iranien (OMPI) comme des acteurs clés.
Le rassemblement à la conférence de Berlin s’est également concentré sur les campagnes de désinformation du régime et la manipulation de la justice pour cibler les figures de l’opposition iranienne. L’événement a mis en lumière les procès en cours contre 104 membres de l’OMPI/MEK en Iran, soulignant les implications plus larges pour les réfugiés iraniens en Europe.
Les hommes politiques allemands et les défenseurs des droits de l’homme présents à la conférence de Berlin ont salué le courage et les efforts de la résistance iranienne. Ils ont souligné l’importance de la solidarité avec le peuple iranien, en particulier avec les femmes, dans leur lutte pour la justice et la démocratie. La conférence a également reconnu le rôle du CNRI et de l’OMPI dans la conduite de la résistance contre le régime.
La conférence de Berlin s’est conclu par un appel collectif en faveur d’un soutien international accru et d’une approche unifiée afin de relever efficacement les défis multiples auxquels est confronté le peuple iranien. Les orateurs ont exhorté la communauté internationale, en particulier l’Allemagne et l’Europe, à réévaluer leur politique à l’égard de l’Iran et à soutenir activement la résistance iranienne dans sa quête de liberté et de démocratie.
Source : Stop Fundamentalism