CSDHI- A l’approche de la farce électorale des mollahs, face à la montée des protestations sociales, le commandant adjoint des Forces de sécurité de l'Etat (FSE), Ahmad Reza Radan, a menacé de mort en leur « brisant la nuque » les opposants et les critiques, a indiqué le 27 mai l’agence de presse officielle Fars.
Lors d'une visite à Bouchehr, dans le sud de l'Iran, dans le cadre de son plan de développement des mesures de répression, Radan a déclaré : « Ceux qui s’oppose à la population et à la police méritent d'être traitées avec fermeté et tués.» Il a ajouté : «Aucun hors-la-loi ou délinquant ne devraient oser se déplacer librement dans la société et de la police brisera le cou aux hors-la-loi et aux délinquants. »
Radan a réaffirmé : « Nous espérons poursuivre ces mesures avec une fermeté et une détermination foudroyante à un rythme accéléré en vue d'élever les normes de la police dans la province de Bouchehr », ont rapporté en le citant les agences officielles Fars et Mehr le 27 mai.
Les déclarations de Radan annoncent de nouveaux plans de répression. Les dirigeants de Téhéran ne peuvent poursuivre leurs règne honteux qu’en intensifiant les exécutions, la torture et les crimes face à la montée des protestations et troubles sociaux.