CSDHI – Les agents de la dictature religieuse ont une fois de plus brisé la pierre tombale de Neda Agha Soltan, martyre du soulèvement populaire en Iran. Le magazine Times écrit à ce sujet le 8 janvier : « Pour la seconde fois le régime iranien a profané la tombe de Neda, l’étudiante assassinée dans une manifestation de rue en juin dernier qui a été érigée un symbole international de l’opposition.
Caspian Makan, le fiancée de Neda, évoquant cet acte révoltant de la dictature des mollahs, a déclaré à Times : « Ils n’ont pas seulement tiré une fois sur elle. En profanant sa tombe, ils continuent de tirer sur elle. »
« Caspian makan ajouté que durant les 65 jours qu’il a passés en prison, les hommes du ministère du renseignement lui ont dit à multiple reprises que la mort de Neda avait porté un coup très dur au régime. »
Il a ajouté : « En tuant d’autres Neda, ils ont rendu le peuple iranien encore plus déterminé dans sa lutte. » Le magazine évoque les pressions inhumaines du régime sur la famille de Neda pour qu’elle dise que leur fille a été tué par des étrangers.