CSDHI – Le plus haute instance juridique du régime des mollahs en Iran, autrement dit la plus féroce du système a approuvé la peine cruelle d’aveugler un et de le mutiler en lui coupant le nez et une oreille. La nouvelle est parue le plus naturellement du monde dans une presse officielle qui se fait un devoir d’entretenir le climat de terreur. En l’occurrence il s’agit de l’édition du 2 mars du journal Charq.
L’homme identifié par son prénom Jamshid a été reconnu coupable en octobre dernier d’avoir délibérément défiguré à l’acide une jeune fille du nom de Chirine, ce qui lui a fait perdre la vue et l’oreille droite.
Durant les nombreuses années de négociations interminables et stériles avec le régime iranien sur le dossier nucléaire, l’Occident a fermé les yeux sur les violations des droits humains en Iran et l’escalade des exécutions et des châtiments barbares.
Le silence et l’inaction face à l’oppression croissante depuis qu’Hassan Rohani a pris ses fonctions ont encouragé la dictature à poursuivre ses atrocités.
Le 19 février 2014, l’agence Mehr, affiliée au Ministère des renseignement et de la sécurité ( Vevak ) du régime, a déclaré que le prisonnier a été condamné à la peine barbare consistant à lui trancher une main et un pied.