CSDHI – L’industrie de la répression est la seule qui ne soit pas en crise en Iran. Les prisons poussent comme des champignons, les potences marchent à plein régime. Les organes de sécurité se multipient comme les poux.
C’est pourquoi les rafles, les arrestations dans les rues, au domicile, lors des manifestations et par les patrouilles de rue envoient chaque année pas moins de 600.000 personnes en prison en Iran.
Les maisons d’arrêt ont beau être partout, à ce rythme elles sont au double de leur capacité.