CSDHI – Au Bourget, samedi, ils ont tous « OUI » répondu à l’appel de Madame Maryam Radjavi, la Présidente élue de la résistance iranienne, pour, ensemble, construire l’Iran de demain : un Iran démocratique, laïque, libre et tolérant.
Des militants du monde entier , connus, ou oeuvrant dans l’ombre, tous réunis pour renforcer le combat contre la dictature religieuse des mollahs, qui répand le terrorisme, déstabilise le nécessaire équilibre du Moyen-Orient, continue de tester des armes nucléaires en toute impunités, violant sans vergogne, les résolutions internationales des Nations Unies.
Madame Radadjavi était bien entourée : le prince saoudien Turki Al Faisal, président du Centre du Roi Faisal pour les Recherches et les Etudes Islamiques et ancien diplomate et chef du renseignement qui a appelé au renversement du régime des mollahs ; l’ancien premier ministre algérien, Sid Ahmed Ghozali, et l’ancien représentant du Congrès américain, Newt Gingrich ; une étonnante délégation albanaise venue en force ; l’ancien chef de la diplomatie canadienne, John Baird, qui a dit : « Rien ne nous empêchera de parler contre ce régime et son terrible bilan des droits humains. Le peuple iranien espère dans la liberté, la démocratie et les droits de l’homme. Le peuple d’Iran exècre tout ce que ce régime représente » ; Le pasteur iranien, Saeed Abedini, récemment libéré de la prison des mollahs ; Bill Richardson, gouverneur du Nouveau Mexique de 2003 à 2011 et ancien ambassadeur aux Nations Unies ; Louis Freeh ancien directeur du FBI ; John Bolton ancien ambassadeur américain à l’ONU ; Michael Mukasey ancien ministre de la justice ; l’ambassadeur Mitchell Reiss ; Tom Ridge, ancien secrétaire à la sécurité intérieure ; le sénateur Torriccelli, représentant légal des habitants de Liberty et Frances Townsend, ancienne conseillère à la sécurité de la Maison Blanche etc.
Une dégation américaine forte du symbole de sa présence.
« Etre ici envoie un signal puissant. Tous ceux qui sont opposés à la dictature sont rassemblés pour la combattre et pour se battre en faveur de la liberté », a dit Newt Gingrich.