CSDHI – Le mouvement pour la justice des victimes du massacre des prisonniers politiques en 1988 en Iran fait campagne dans tout le pays. Des défenseurs des droits humains et des partisans de la Résistance iranienne s’activent depuis un an, et ont réussi à ébranler la dictature religieuse.
Le tabou qui interdisait de parler de ce crime contre l’humanité est désormais brisé et le sujet court sur toutes les lèvres.
C’est la Résistance iranienne qui a demandé l’an dernier aux familles des 30.000 victimes de se manifester et d’exiger que les responsables, toujours au pouvoir, soient jugés. De nombreux appels ont été adressés dans ce sens au Haut-commissaire aux droits humains de l’ONU.
Pour le premier anniversaire du mouvement, des affiches ont été collées dans diverses villes iraniennes, les photos montrent les activités à Téhéran. Inutile de rappeler les immenses risques d’arrestation et de peine de mort que prennent les jeunes résistants dans cette campagne.
Téhéran – Voie rapide Cheikh Fazlollah
Téhéran – Avenue Simorgh
Téhéran – Parc Nahjol Balagheh
Téhéran – Voie rapide Hakim
Téhéran – Chahrara
Téhéran, avenue Ferdoussi