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Libertés civiles et politiques restreintes pour l’anniversaire des manifestations de novembre 2019

08 novembre 2021
in Répression
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CSDHI – Le régime iranien a renforcé sa répression des libertés civiles et politiques avant le deuxième anniversaire des manifestations nationales de novembre 2019 en Iran. Les médias officiels indiquent que le département du renseignement des pasdarans a arrêté des groupes de personnes dans diverses régions d’Iran, notamment à Alborz, près de Téhéran, dans la province de Kerman (sud-est), dans la capitale Téhéran et dans la province d’Hormozgan (sud).  La plupart de ces personnes sont accusées d’appartenir à des groupes inconnus ou de « menacer la sécurité du peuple ».

Les militants estiment que la méthode utilisée pour annoncer les arrestations sur les médias officiels a été planifiée pour intimider les Iraniens et les contraindre au silence à l’occasion de l’anniversaire des manifestations de novembre 2019, le 15 novembre.

La publication du dernier document sur les arrestations date du 4 novembre lorsque les médias d’État ont annoncé que les pasdarans de l’Imam Hossein Mojtaba ont arrêté plusieurs personnes dans la province d’Alborz. Les informations indiquent que les détenus ont « menacé la sécurité du peuple et de la société ». Le régime les a qualifiés de « dirigeants commandant des personnes menaçant la sécurité du peuple ». Dans un communiqué publié après leur arrestation, le régime a déclaré que les détenus s’appelaient eux-mêmes « le Mouvement du soulèvement blanc ». Ils avaient l’intention de « provoquer des troubles dans la province et le pays. »

Auparavant, le procureur de Robat Karim à Téhéran avait déclaré que les agents du renseignement des pasdarans avaient identifié et arrêté « les dirigeants » et plusieurs personnes liées à un réseau « anti-révolutionnaire » dans la ville. À Kerman, le chef du bureau des relations publiques de la base des pasdarans de Sarallah a déclaré que les agents du renseignement des pasdarans ont arrêté plusieurs personnes. Sans entrer dans les détails, il a accusé les détenus d' »être actifs contre la République islamique » et de « troubler l’opinion publique ». Il a affirmé que « le réseau organisait des réunions dans des parcs et des espaces publics et trompait les citoyens sous le couvert d’exercices, de cérémonies religieuses et de remerciements » tout en les « orientant vers des déviations idéologiques et sécuritaires ».

La semaine dernière, Gholamreza Jafari, chef de la police de la province méridionale d’Hormozgan, a annoncé l’arrestation de deux personnes à Bandar Abbas. Elles sont accusées d’avoir envoyé à des médias étrangers des vidéos sur les problèmes sociaux et les conditions de vie dans leur ville.

Par ailleurs, un site web kurde sur les droits humains a déclaré aujourd’hui que les administrateurs de quatre chaînes Telegram ont été convoqués et menacés pour avoir publié la nouvelle du meurtre de Mohammad Khodaei Kani Seif, un garde-frontière kurde, par les forces frontalières il y a deux jours. Les administrateurs ont dû supprimer la nouvelle de leurs chaînes.

Le régime a également multiplié les arrestations d’Iraniens ordinaires qui exerçaient leurs droits civiques fondamentaux.

Dans la ville de Khorramchahr, dans le sud-ouest du pays, la police a annoncé la fermeture de plusieurs restaurants et cafés pour publicités « non conventionnelles », « musique live illégale » et non-respect des règles « islamiques ». Selon d’autres informations, le chef de la cyberpolice de la province de l’Azerbaïdjan oriental (nord-est) a annoncé l’arrestation d’un citoyen iranien à Tabriz pour la publication sur les médias sociaux d’une vidéo qui « enfreignait les normes sous prétexte d’exprimer du bonheur ». Mohsen Mahmoudi a déclaré qu’un dossier pénal était ouvert contre cette personne, dont le nom reste inconnu.

Enfin, hier, Rokna annonçait que le chef de la police de Marivan, dans l’ouest de l’Iran, avait placé en détention les administrateurs de cinq comptes Instagram, actifs dans des chaînes de « rencontres en ligne ».

Kambiz Rostamnia a déclaré à IRNA hier que les neuf personnes arrêtées en relation avec les chaînes de rencontres en ligne étaient accusées de « publier des contenus immoraux et corrompus sur les médias sociaux ». Rostamnia a précisé que leurs canaux Instagram ont été fermés. Avant cela, le 28 octobre, le chef de la cyberpolice de Mazandaran, dans le nord de l’Iran, a déclaré que 17 administrateurs de chaînes Instagram avaient été arrêtés à Behshahr pour avoir « encouragé un mode de vie occidental ». Same’e Khorshad a déclaré que ces personnes « perturbaient la paix morale et la sécurité des citoyens », tout en les accusant de « publier des images vulgaires et de modéliser des annonces au contenu inapproprié dans l’intention de tromper les jeunes afin de les extorquer ». 

Source : Iran News Wire

Tags: libertés civiles et politiquesmanifestationsnovembre 2019
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